Postmortem de Patricia Cornwell, Ed. Livre de poche
martin | 30 janvier 2011 | 18:23
Parti dans un flot de lectures ces derniers temps, le premier livre de la série Scarpetta s’est imposé à moi.
Parti dans le polar et les enquêtes au travers des Chattam ces derniers mois, j’ai décidé de poursuivre avec des références du style policier, partant donc dans la série des Scarpetta de Patricia Cornwell.
Ce livre présente donc le héros de cette série, le docteur Kay Scarpetta, femme d’origine italienne et légiste travaillant à Richmond aux Etats-Unis.
On s’attache vite à ce personnage dont on suit la vie de célibataire prise entre son travail et sa nièce, surdouée laissée de côté par sa mère.
Il est question dans ce premier roman de crimes horribles perpétrés par un tueur dont on ne sait pas grand chose au départ. Ce dernier viole et tue des jeunes femmes dans d’affreuses circonstances avec un modus operandi semblable à chaque fois sans qu’on ne trouve au départ le lien entre les victimes. Lire la suite »
Ce livre a été pour moi le premier Houellebecq que je lisais. Cela faisait longtemps que j’entendais parler de cet auteur mais j’avais aussi l’impression que c’était un auteur pour parisiens bobos, ce que je ne suis pas, d’où mon non-empressement à le lire à l’époque.
J’ai décidé de lire ce livre après sa reconnaissance par le prix Renaudot. C’est assez inhabituel en fait chez moi. Je ne me laisse pas souvent séduire par les livres primés et préfère me faire mon avis en lisant les avis des critiques sur le net ou dans les magazines tels que “Lire”.
J’avais découvert ce livre au nom étrange dans une émission littéraire et le livre ne m’avait pas immédiatement attiré bien que son auteur, laurent Binet m’eut tout de suite plu.
A la sortie de son livre, j’avais lu une interview de Florence Aubenas au sujet de son livre et j’étais partagé entre deux sentiments.


J’ai abordé la lecture de ce roman dans la foulée de ma lecture à sens inverse des romans de la romancière belge Amélie Nothomb.
