Un monde de procrastination

Blog personnel de Martin Régent : Réflexions ((f)utiles…?) sur un monde ((f)utile…?)
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1Q84, Livre 1 de Haruki Murakami

martin | 13 novembre 2011 | 16:38

Ce livre est impressionnant à plusieurs niveaux et je ne m’attendais pas trop à ça en me décidant à le lire. Il est toujours difficile d’imaginer à quoi s’attendre quand on commence la lecture d’un livre mais ce que j’avais lu comme critiques “roman dans le roman”, “liaisons constantes entre le virtuel et le réel”, par exemple, me motivaient grandement et me promettaient un attrait fort pour l’histoire.

Comme pour faire un clin d’oeil à ces critiques lues dans quelques quotidiens ou magazines évoquant toutes le rapport “réel/virtuel”, j’ai commencé ce livre en version papier ayant acheté les 2 tomes déjà sortis - j’avais d’ailleurs découvert le dessous de la couverture - puis l’ai continué sur Kindle après mise à disposition d’une version électronique.

1Q84 est un très beau roman complexe même si très facile à lire finalement. Il y est question de deux histoires qui se déroulent en parallèle et dont on pressent (on ne le vérifie effectivement qu’au début du livre 2) qu’elles sont liées même si le lien n’est pas si évident à faire que cela au départ.

On suit donc un chapitre sur deux Tengo, professeur de mathématique et écrivain en devenir qui aura à reprendre le roman d’une jeune fille très particulière et Aomamé, jeune femme indépendante, instructrice d’arts martiaux et tueuse aux techniques très particulières et à l’éthique fortement marquée même si cela peut paraître aberrant au départ. Lire la suite »

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Bref, j’en peux plus de ce mot !

martin | 3 novembre 2011 | 23:24

A la rentrée, Canal + a lancé sa mini-série Bref. Vous la connaissez tous, c’est parfois drôle, souvent cliché et très souvent assez bien trouvé. La série a connu une viralisation très forte grâce à Facebook. Plus d’un million de personnes en sont fans sur Facebook. Impressionnant.

Le problème avec ce genre d’effet de mode, c’est que tout le monde se met à reprendre les mots ou expressions de la série tout le temps, à tort ou à travers et qu’à la longue, ça en devient lourd. Au début ça va, on en rigole. Oui, forcément, tout le monde est dans le délire, c’est fun, ça passe. Le matin à la machine à café :

“Bref. j’ai regardé bref ! Oh oh, c’était trop bon :-)
- Ah oui énorme, tu as vu quand il sort ça ?
- éééénorme
- ah ouais, génial
- ils sont forts quand même à Canal…”

Chacun y va de sa remarque expliquant ce qu’il était en train de faire à ce moment-là et même ce que cela lui a rappelé. La série se basant sur des choses du quotidien, c’est en effet assez facile de s’identifier au personnage et de rire des situations et donc indirectement de soi-même. Le partage de ces anecdotes mises en scène devient donc un thème fédérateur. Lire la suite »

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Mon analyse de la stratégie de Bookeen avec la sortie de l’Odyssey

martin | 22 octobre 2011 | 17:59

J’ai publié un article d’analyse prospective concernant la stratégie de Bookeen sur le site ebouquin.fr et je vous invite à aller le lire directement là-bas. Je suis de près l’activité de Bookeen possédant déjà un lecteur de chez eux, l’ Opus, que j’avais testé sur le site. J’en suis globalement satisfait.

La société parisienne vient en effet de présenter son futur reader à encre électronique. Face aux lecteurs des autres acteurs du marché, Kindle 4, Kobo Touch ou futur FnacBook, quelle est la direction prise par Bookeen de mon point de vue.

Retrouvez-le donc dans mon article sur le site ebouquin.fr

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Tram(e) de notre société ?

martin | | 16:04

Il se passe toujours quelque chose dans les transports. Vous avez certainement déjà lu ce que je raconte de mes observations dans le métro, le train ou le tram.

Ce soir m’a une nouvelle fois permis d’assister à une représentation parfaite de ce que j’aime dans les transports : l’incongruité des situations et des réactions des protagonistes représentant bien souvent le meilleur mais également le pire de l’être humain dans sa relation à l’autre.

Le Tram dans lequel je circulais était peu rempli, rentrant chez moi après être sorti assez tard du boulot. A un arrêt, le tram s’arrête pendant plus longtemps que lors des précédentes stations. Bien qu’appuyé nonchalamment contre l’une des portes vitrées, la tête sous la grille d’aération de la clim, rêvassant, je me redresse et me rends compte qu’effectivement le Tram ne repart pas.

Intrigué, je mets mon walkman en pause et me met à l’écoute des sons environnants. Pendant quelques longues secondes, rien de particulier ne m’arrive aux oreilles et tout le monde semble s’attendre comme moi à ce que la rame reparte.

Certains voyageurs arrivent en courant dans la rame ouverte tout contents d’être arrivés avant la fermeture des portes, le sourire aux lèvres. Ils se rendent compte rapidement que leur empressement a été vain. Le Tram ne repart pas. Lire la suite »

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Un Roman français de Frédéric Beigbeder

martin | 5 octobre 2011 | 23:47

Ce n’était pas le premier roman de Beigbeder que je lisais et c’est celui que j’ai préféré sans aucune hésitation.

Comme dans ses autres livres, on retrouve le côté direct de cet auteur moderne, son style percutant, ses coups de gueule sur la société et la vie mais pour une fois, ça sonne juste car il parle en son nom et non pas caché derrière un personnage plus ou moins fictionnel.

Le roman tire son origine de son arrestation très médiatisée lors de consommation de cocaïne sur la voie publique. Cette péripétie de la vie est alors l’occasion pour Beigbeder de retracer sa vie, de son enfance à sa vie actuelle, passant en revue différents événements formateurs de son existence durant sa garde à vue et son emprisonnement.

On découvre ainsi la concurrence avec son frère, son complexe relatif à son corps et à son image mais aussi ses faiblesses. C’est ce côté que j’ai apprécié dans ce livre, percer la carapace de ce monstre médiatique. Lire la suite »

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Ce soir, j’ai regardé sous la couverture

martin | 4 octobre 2011 | 0:05

Ce soir, en commençant 1Q84, le dernier Murakami, je me suis fait la réflexion que j’aimais par desssus tout lire un broché accompagné de sa couverture même si parfois la préhension du livre s’en trouve compliquée, la couverture glissant et faisant parfois perdre la page en cours.

Cette couverture, object markété, designé et étudié pour parfaire l’oeuvre ou mieux la vendre recouvre le livre ; cet appendice par lequel l’oeuvre est ainsi enjolivée, comme sobrement accompagnée par cette seconde peau colorée reprenant bien souvent les caractéristiques de la première de couverture. Couleur. Police. Agencement. Parfois non, la première de couverture de l’imprimé étant  simplement blanche avec en noir ou en rouge le titre, le nom de l’auteur et celui de l’éditeur.

Lors de la lecture d’un roman, j’avais toujours ce rituel bizarre de ne pas regarder sous cette couverture. Surtout ne pas entraver la première idée que j’avais sur le livre en laissant mon regard et mon esprit divaguer sur la recherche graphique de cet enjoliveur.

Ce soir j’ai regardé. Sous la couverture, j’ai glissé mon regard et le charme s’est comme brisé. C’est tout bête, je ne le fais jamais mais un simple geste aperçu aujourd’hui je ne sais plus où m’a incité à bouger cette couverture habituellement sacrée. Dans les transports il me semble, une femme qui lisait s’est servie du rabat de la couverture de son broché pour garder sa page. Cela a aiguisé ma curiosité et fait voler en éclats l’état intouché de la couverture. Lire la suite »

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Le syndrome du Tour de France

martin | 14 septembre 2011 | 22:39

Chaque année au mois de Juillet, la plus grande course cycliste du monde occupe les écrans de télévision, le Tour de France. C’est un événement sportif majeur qui, malgré la piètre qualité de retransmission des les chaînes françaises, plaît toujours autant au public, passionné de vélo ou simple amateur de paysages de France.

Pratiquant le vélo toute l’année, j’ai remarqué un phénomène marquant lors de mes sorties se produisant très souvent pendant la course ou durant les semaines la suivant, mais pas que. Je l’ai baptisé “le syndrome du Tour de France”

Pour le non pratiquant, ce syndrome paraîtra certainement très marrant ou au pire insignifiant mais pour le cycliste, vous comprendrez que c’est à la fois une incompréhension profonde et parfois un danger…

Ce syndrome touche un grand nombre de personnes, en ville mais également à la campagne, terre originelle du cyclisme. Difficile de dire si les personnes victimes de ce mal sont des passionnées de vélo ou de simples opportunistes de l’événement abreuvées de commentaires pseudo-journalistiques vaseux d’origine “France télévisuelle”, toujours est-il que ces personnes pensent tout connaître du vélo et de ses “stars”. Lire la suite »

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Tuer le père de Amélie Nothomb

martin | 28 août 2011 | 16:12

Tuer le père - Amélie NothombComme à chaque rentrée littéraire et à même période, les libraires ont vu débarquer le dernier Amélie Nothomb.

Passé par hasard à la Fnac, j’en suis ressorti les bras chargés de livres dont celui-là, amateur de la romancière belge, attiré par sa couverture très graphique et par son titre fort : “Tuer le père”

Comme souvent chez Nothomb, c’est un peu sa marque de fabrique, le roman est court. Celui-ci ne déroge pas à la règle puisqu’il ne fait que 150 pages. Il se lit très vite. Je l’ai lu en 1h.

Le thème abordé au long de ces 150 pages est celui du jeu et de la magie. Ce n’est en réalité qu’un artifice, une façade utilisée pour mieux égayer ce qui est le vrai thème de ce roman à mes yeux, l’initiation à la vie du personnage principal et son psyché. On suit de l’adolescence au début de sa vie d’adulte un jeune garçon très doué aux cartes et recueilli par un grand magicien et sa femme. On suit alors son éveil à la vie, à l’attirance des femmes et son rapport à ce père adoptif jusqu’à découvrir son réel but.

Comme souvent dans les romans de Nothomb, le récit est très bien construit. On a ici droit en introduction à un bout de la conclusion qui permet ensuite de faire un flashback sur le reste de livre pour revenir enfin au dénouement qui est là encore inattendu et assez couperet. Là encore, c’est un peu habituel avec Amélie Nothomb. Lire la suite »

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C’est la reprise !

martin | 11 août 2011 | 0:15

ça y est, c’est la reprise ! Partout on les revoit nos joueurs de football avec leurs maillots colorés et leurs têtes d’enfants gâtés ayant trop fait l’école buissonnière.

Le bon temps sportif médiatique déjà fini

La trève footballistique passe toujours trop vite à mes yeux d’autant plus que pendant celle-ci, on trouve toujours à la télévision d’autres sports, d’habitude invisibles face au grand roi des audiences, le football.

On a pu ainsi se délecter pendant l’absence des terrains verts de l’écran, du vélo avec un Tour de France magnifique, de la natation avec des français brillants tant dans l’eau que lors des interviews mais aussi du Tennis et de Roland-Garros où le glamour et les bonnes manières des tennis(wo)men sont toujours très agréables.

C’est vrai que ça change des footballeurs de voir un sportif disserter sur son sport ou sur la vie en général avec recul et humilité tel un Lacourt, un Bernard, un Djokovic ou un Voeckler !

Toutes les bonnes choses ont une fin malheureusement, le maître football va reprendre ses droits à la télévision. Les pages sport des journaux télé ou papier vont reprendre leurs découpages habituels (80% pour le foot, 20% pour le reste si ce n’est moins…) Lire la suite »

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Oh Mamma Mia !

martin | 20 juillet 2011 | 15:44

Il y a parfois des coïncidences troublantes, qui quand on s’en rend compte, laissent rêveurs et font qu’on se pose des questions sur le déroulé des événements ou même sur la différence entre le rêve et la réalité.

j’allais au boulot à pied, comme presque tous les matins, les bus ne passant que sporadiquement près de là où je loge en région parisienne. Quand ces derniers passent, ils sont deux ou trois à la suite, ce qui est un peu ridicule d’ailleurs, le premier étant rempli à rabord, le second, à peine rempli et le troisième, vide.

Très souvent, étant rôdé à ce fonctionnement débile et ayant 15 minutes de marche jusque changement de transport suivant, je marche, musique sur les oreilles.

La musique est depuis toujours un compagnon indispensable de ma vie, encore plus depuis que je travaille et vis sur Paris cette ville d’un bruit devenu insupportable pour moi. Les écouteurs isolent du monde extérieur et permettent de vivre la musique en communion avec le chanteur ou les instruments. Une sorte de bulle est alors formé autour de moi quand je marche.

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La Carte et le territoire de Michel Houellebecq

martin | 5 juillet 2011 | 21:27

Alors que j’étais parti pour me lire tous les livres de Houllebecq dans l’ordre, ayant commencé avec “ Extension du domaine de la lutte“, devenu un véritable livre fondateur depuis, j’ai sauté à celui-ci après avoir lu “Les particules élémentaires” dont le résumé arrivera un peu plus tard.
Pourquoi ?

Simplement car je l’ai acheté en broché dès sa sortie en librairie et que le Goncourt m’a vraiment donné envie de le lire. Bien que j’aime le style Houellebecq, les prix littéraires m’avaient auparavant semblé ne récompenser que des livres éloignés de la réalité, peu intéressants de mon point de vue de lecteur.

Donc, avec le battage médiatique que le livre a suscité, j’ai décidé de me lancer dans sa lecture alors qu’il avait rejoint les dizaines de livres en attente de lecture chez moi.

J’ai, pour la petite histoire, avec ce livre, une nouvelle fois piraté un livre que j’avais acheté légalement pour le lire sur mon reader, la version numérique n’étant pas dispoible puis payante quand elle l’est devenue, je n’allais pas la racheter pour la lire en numérique !

Peut-on d’ailleurs encore parler de piratage quand on télécharge illégalement une oeuvre qu’on possède ? Si Hadopi surveillait les livres, peut-être me serais-je fait prendre pour avoir récupéré une oeuvre que j’avais acquise légalement ? Vaste débat…

Revenons au livre et à sa substance. Clairement, j’ai bien aimé, vraiment. Autant “les particules élémentaires” m’avait paru un peu long et lourd après “extension du domaine de la lutte”, autant là, le style et l’histoire sont parfaitement maîtrisées si bien qu’on se laisse bien plus facilement porté par l’intrigue. Lire la suite »

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Le vol des cigognes de Jean-Christophe Grangé

martin | 26 juin 2011 | 22:24

Avec “Le Serment des limbes” et “Miserere”, probablement l’un des meilleurs livres de Grangé qu’il m’ait été permis de lire jusque maintenant.

L’histoire débute avec le meutre suspect d’un ornithologue suisse reconnu, Böhm. Ce dernier venait de “recruter” un doctorant, Louis Antioche, au passé trouble pour enquéter sur la disparition inexpliquée de ses cigognes lors de leur migration. Antioche découvre rapidement que Böhm avait subi une transplantation cardiaque apparemment avant que cette technique ne soit officiellement découverte…

On ne sait d’abord pas grand chose de ce jeune homme sauf qu’à la suite d’un accident étant jeune il a perdu toute sensation dans ses mains brûlées. Bien que son “employeur” soit décédé, Louis Antioche décide de terminer sa mission et part suivre les cigognes.

On le suit donc à Paris, en Europe de l’Est, au proche Orient et en Afrique sur les traces de meutres rituels sordides autour des cigogones, dans ce qui ressemble de plus en plus, pendant l’histoire, à un voyage initiatique pour cet homme.
Pour le lecteur, c’est un joli panorama de paysages bien décrits et de personnages rencontrés par Louis Antioche.

Petit à petit, on comprend en effet toute l’histoire et on joint les bouts laissés volontairement disjoints par l’auteur et on tisse soi-même les relations entre les personnages du livre. Lire la suite »

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Deux tours

martin | 30 mai 2011 | 23:05

On pensait qu’il serait la star des deux tours de l’élection présidentielle, cet économiste de génie à l’air bonhomme et au pas décidé. Cet homme moderne qui défroisse lui-même ses costumes à la vapeur d’eau chaude dans la salle de bain de ses hôtels.

Tout s’est arrêté dans un tonnerre médiatique digne de deux autres tours…

Dopé à l’info, j’ai suivi, comme beaucoup d’entre nous l’affaire DSK. Difficile de passer à côté.

Quoi qu’on en pense, chacun a son avis sur la question, sur ce qu’a fait ou n’a pas fait l’ancien directeur du FMI dont le bilan est tout de suite éclipsé, écrasé par les accusations terribles.

On entend parler sur le plateau d’une célèbre émission à Cannes, par une actrice française, de suicide politique. D’autres évoquent déjà la fin du politique, certains même, la fin de l’homme.

Entre deux tours, il aurait eu de l’allure le DSK ! C’est à peu près ce que je me suis dit quand j’ai suivi son audience sur Twitter. Lire la suite »

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J’ai testé pour vous le SAV Apple et je suis super déçu !

martin | 8 mai 2011 | 23:49

Vous aviez suivi mon récit de la pénurie d’iPad 2, appareil que je voulais acheter, que je n’avais pas trouvé et que j’ai finalement pu acquérir. Voici aujourd’hui un nouveau récit, un de ceux dont je me serais bien passé mais que je vais me faire un plaisir de vous conter puisque cela révèle à mon avis le revers de la médaille du marketing Apple poussé à l’extrème.

Content de mon iPad 2 et utilisateur quotidien, cet appareil m’a rapidement conquis pour mon usage personnel composé de surf, de mails et de lecture d’articles sur les sites de presse et de blogs.

J’aurai l’occasion de revenir dans un autre article sur mon utilisation, sur les points forts de l’appareil mais aussi sur ses gros points faibles à mes yeux, itunes en tête et la gestion à base de restrictions des fichiers multimédias, qui dans mon cas, m’a rapidement fait abandonner toute idée de transfert du Mac à l’iPad au profit d’une synchro live en glisser/déposer via dropbox.

Et là…c’est le drame…

L’utilisant matin et soir, j’ai eu la désagréable surprise de ne pas voir l’appareil se rallumer un soir en appuyant sur le bouton “Home” de l’appareil, l’ayant mis en veille après utilisation le matin. Entre temps, stockage statique dans sa housse en polyuréthane protecteur. Aucune cause extérieure possible donc à ce souci très gênant et complètement incompréhensible pour moi, le bouton n’ayant jamais montré aucun signe de faiblesse.
Ah bah oui c’est vrai, c’est con comme tout cet engin, il n’y a globalement qu’un bouton pour tout faire. Mais on fait comment si le bouton ne fonctionne plus ? Lire la suite »

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Patrick Roy s’en est allé…

martin | 3 mai 2011 | 21:20

…il m’avait mis les larmes aux yeux lors de son discours de retour à l’assemblée nationale il y a quelques semaines. C’était très émouvant et cela avait permis de mettre un peu d’humanité dans ce monde si hostile qu’est la politique.

Cela avait aussi donné de l’espoir à tous les malades, espoir qu’il n’a jamais perdu mais cela n’aura pas suffi. Il s’en est allé rejoindre les légendes du métal, musique qu’il chérissait tant.

J’ai vu sur Twitter cette magnifique affiche hommage à cet homme à la veste rouge. Je l’ai trouvée vraiment adaptée et digne. C’est de Geoffrey Dorne dont le site jaffiche.fr est rempli de belles créations.

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