1Q84, Livre 2 de Haruki Murakami
martin | 30 janvier 2012 | 0:57
Dès la fin du
premier tome, j’avais enchaîné sur ce second sans même prendre le temps de souffler tant la première partie était pleine de promesses et d’intrigues non encore élucidées.
Ce “livre 2″ commence d’ailleurs là où s’arrête le “ livre 1“, il n’y a aucun changement de style, l’histoire se poursuit comme s’il ne s’agissait que d’une changement de chapitre.
On retrouve les deux protagonistes de l’histoire, Tengo et Aomamé que l’intrigue de ce livre 2 va considérablement rapprocher. On le sentait tout au long du premier tome de cette histoire, cela se confirme.
Tout au long des pages de ce livre 2, on découvre également de plus en plus le dessous des cartes de l’histoire complexe que Murakami nous conte. Certes, persistent certaines zones d’ombre qui ne seront pas dénouées avant le 3ème livre mais déjà on progresse en comprenant mieux de nombreux éléments.
On en apprend beaucoup plus sur le livre qu’écrit la jeune fille qu’a pris son son aile Tengo. L’histoire de la Chrysalide de l’air est même longuement détaillée. On en découvre également beaucoup plus sur la secte dont il est question dans le livre 1 tandis que Tengo et Aomamé poursuivent leur quête en parallèle. Lire la suite »
J’avais lu quelques critiques de ce livre avant l’achat et le thème m’attirait : un groupe de trentenaires et leurs relations, les fameuses Morues, pas mal d’internet et une enquête journalistique en parallèle de tout ça.
Lors de sa parution, ce livre a beaucoup fait parler de lui, sa sortie ayant eu lieu peu après le décès de Steve Jobs.
Alors que j’étais parti pour me lire tous les livres de Houllebecq dans l’ordre, ayant commencé avec “
J’ai eu du mal à lâcher ce livre. C’est assez rare chez moi, qui lit souvent 4 ou 5 livres en parallèle, il faut vraiment que l’histoire me tienne et ce fut le cas.
J’étais passé complètement à côté de ce livre. Oui assez étonnant, car après l’avoir reçu et avoir regardé de quoi il s’agissait, je n’ai pas trop compris pourquoi, tant on en a parlé un peu partout dans les médias.
J’ai décidé de lire ce livre après sa reconnaissance par le prix Renaudot. C’est assez inhabituel en fait chez moi. Je ne me laisse pas souvent séduire par les livres primés et préfère me faire mon avis en lisant les avis des critiques sur le net ou dans les magazines tels que “Lire”.
J’ai abordé la lecture de ce roman dans la foulée de ma lecture à sens inverse des romans de la romancière belge Amélie Nothomb.

J’avais distingué ce livre dans

