Le vol des cigognes de Jean-Christophe Grangé
martin | 26 juin 2011 | 22:24Avec “Le Serment des limbes” et “Miserere”, probablement l’un des meilleurs livres de Grangé qu’il m’ait été permis de lire jusque maintenant.
L’histoire débute avec le meutre suspect d’un ornithologue suisse reconnu, Böhm. Ce dernier venait de “recruter” un doctorant, Louis Antioche, au passé trouble pour enquéter sur la disparition inexpliquée de ses cigognes lors de leur migration. Antioche découvre rapidement que Böhm avait subi une transplantation cardiaque apparemment avant que cette technique ne soit officiellement découverte…
On ne sait d’abord pas grand chose de ce jeune homme sauf qu’à la suite d’un accident étant jeune il a perdu toute sensation dans ses mains brûlées. Bien que son “employeur” soit décédé, Louis Antioche décide de terminer sa mission et part suivre les cigognes.
On le suit donc à Paris, en Europe de l’Est, au proche Orient et en Afrique sur les traces de meutres rituels sordides autour des cigogones, dans ce qui ressemble de plus en plus, pendant l’histoire, à un voyage initiatique pour cet homme.
Pour le lecteur, c’est un joli panorama de paysages bien décrits et de personnages rencontrés par Louis Antioche.
Petit à petit, on comprend en effet toute l’histoire et on joint les bouts laissés volontairement disjoints par l’auteur et on tisse soi-même les relations entre les personnages du livre. Lire la suite »
Encore un bon thriller de Grange dans la veine des rivières pourpres avec un duo d’enquêteurs, un vieux briscard d’origine arménienne à la retraite et un jeune d’origine russe ayant quelques soucis de drogue et une histoire tumultueuse.
“Une intrigue extraordinaire et un récit maîtrisé à la perfection”. Voilà ce que je dirais si je devais résumer ce livre à une seule phrase.
J’étais passé complètement à côté de ce livre. Oui assez étonnant, car après l’avoir reçu et avoir regardé de quoi il s’agissait, je n’ai pas trop compris pourquoi, tant on en a parlé un peu partout dans les médias.
Parti dans un flot de lectures ces derniers temps, le premier livre de la série Scarpetta s’est imposé à moi.
Ce livre a été pour moi le premier Houellebecq que je lisais. Cela faisait longtemps que j’entendais parler de cet auteur mais j’avais aussi l’impression que c’était un auteur pour parisiens bobos, ce que je ne suis pas, d’où mon non-empressement à le lire à l’époque.
J’avais découvert ce livre au nom étrange dans une émission littéraire et le livre ne m’avait pas immédiatement attiré bien que son auteur, laurent Binet m’eut tout de suite plu.
A la sortie de son livre, j’avais lu une interview de Florence Aubenas au sujet de son livre et j’étais partagé entre deux sentiments.

Il est des œuvres dont on se souvient longtemps. Films, Musiques, Livres. Il est parmi ces oeuvres des livres dont les pages cornées et jaunies nous rappellent longtemps les meilleures phrases de leur puissant contenu.
