J’ai testé pour vous la pénurie de l’iPad 2
martin | 28 mars 2011 | 23:14Confiant ce soir pour aller acquérir un iPad 2, l’appareil n’étant sorti que vendredi soir, j’ai expérimenté moi-même la fameuse pénurie qui agite le Web ces derniers jours presque plus que le nuage radioactif japonais. Et non, ce n’est pas une légende Marketing créée de toutes pièces par la marque mais une réalité, bien réelle.
Partant du boulot avec l’objectif de ramener victorieusement l’appareil “magical”, “tremendous”, “dramatically thin” et passant devant une Fnac, je m’y suis arrêté.
Directement, je repère le stand Apple et en fin connaisseur de la marque, je passe l’instant “touchage de dalle” et me dirige, le pas sûr vers la caisse et demande à la vendeuse très jovialement “Bonjour, avez-vous l’iPad 2 ?” certain d’entendre un “oui monsieur, lequel voulez-vous ?” et là, elle me répond, d’un air dédaigneux voulant dire “pauvre fou” : “Hhhha mais non, y’en a plus monsieur !” et détourne le regard comme dégoûtée. Genre, j’ai osé demander d’acheter un iPad 2. Wahou, excuse-moi d’avoir demandé de t’acheter un truc à 600€, j’aurais pu juste te prendre une housse…
Repoussant en moi le Martin rebelle, enfant libre, je conserve mon masque de jeune homme poli et ne lui assène rien de méchant. Restant alors beau joueur et pensant arriver au bout de ma quête quel qu’en soit le coût (ouais…600€ quand même, on est d’accord…), je repars le pas léger vers la station de métro. Direction l’Apple Store Opera. Lire la suite »
Encore un bon thriller de Grange dans la veine des rivières pourpres avec un duo d’enquêteurs, un vieux briscard d’origine arménienne à la retraite et un jeune d’origine russe ayant quelques soucis de drogue et une histoire tumultueuse.
“Une intrigue extraordinaire et un récit maîtrisé à la perfection”. Voilà ce que je dirais si je devais résumer ce livre à une seule phrase.
Vous le savez, j’édite en parallèle du blog et de mes activités le site
J’ai eu du mal à lâcher ce livre. C’est assez rare chez moi, qui lit souvent 4 ou 5 livres en parallèle, il faut vraiment que l’histoire me tienne et ce fut le cas.
J’étais passé complètement à côté de ce livre. Oui assez étonnant, car après l’avoir reçu et avoir regardé de quoi il s’agissait, je n’ai pas trop compris pourquoi, tant on en a parlé un peu partout dans les médias.
Parti dans un flot de lectures ces derniers temps, le premier livre de la série Scarpetta s’est imposé à moi.
Ce livre a été pour moi le premier Houellebecq que je lisais. Cela faisait longtemps que j’entendais parler de cet auteur mais j’avais aussi l’impression que c’était un auteur pour parisiens bobos, ce que je ne suis pas, d’où mon non-empressement à le lire à l’époque.
J’ai décidé de lire ce livre après sa reconnaissance par le prix Renaudot. C’est assez inhabituel en fait chez moi. Je ne me laisse pas souvent séduire par les livres primés et préfère me faire mon avis en lisant les avis des critiques sur le net ou dans les magazines tels que “Lire”.
