Continuum de Victor Deguérande
martin | 10 décembre 2012 | 22:10
J’avais dans mon Kindle ce livre dont je ne me souvenais plus trop de l’origine. Je télécharge en effet de temps en temps des ebooks gratuits ou même des ebooks piratés que je vais ensuite acheter si j’accroche et que j’apprécie, ma façon de découvrir des auteurs et de les “rémunérer”, fonctionnant de la même façon pour le livre que pour la musique.
J’ai donc commencé ce livre sans trop savoir où j’allais ni à quoi m’attendre et n’ai pu décrocher, le lisant quasiment d’une seule traite dans les transports en 3 ou 4h. Arrivé au bout, je me suis empressé d’aller voir de quoi il s’agissait, de quel auteur de science-fiction venait cette bonne surprise.
Quelle n’a pas été ma suprise en découvrant qu’encore une fois, ce livre était l’oeuvre d’un écrivain auto-édité demandant que les lecteurs lui fassent des dons pour vivre de ses écrits, exactement ce que j’ai toujours rêvé de pouvoir faire quand j’aime un livre, plutôt que de ne reverser qu’une faible somme en achetant le livre en librairie ou sur Internet, des commissions étant prélevées, ne restant à l’auteur qu’une très faible part du prix payé par le lecteur.
J’ai donc encouragé cet auteur comme j’avais déjà remercié Radiohead en son temps pour l’album qu’ils avaient mis à disposition gratuitement sur le net, partant du principe qu’un paiement choisi et a posteriori est plus engageant et doit donner lieu à une véritable rétribution basée sur l’appréciation de l’oeuvre et non pas sur un tarif fixé par un éditeur ou un marchand.
Comme vous avez pu le lire, je découvre ces derniers temps des auteurs intéressants par l’auto-édition grâce aux liseuses que j’utilise et parfois grâce à leurs stores intégrés. Comme quoi, ce filon a de l’avenir et permet de découvrir, en dehors des circuits commerciaux et promotionnels habituels, des auteurs talentueux. Lire la suite »
Le Kindle et l’auto édition offrent parfois de très bonnes surprises. Je vous avais déjà parlé ici d’
Possédant un Kindle, j’ai acheté plusieurs fois des ouvrages sur Amazon afin de les lire dessus. Rarement des gros titres que je préfère encore acheter en papier et me procurer en format électronique par ailleurs, ne concevant pas de mettre 15€ dans un fichier uniquement lisible sur mon Kindle et non prêtable, mais plutôt des polars, des romans.
C’est une amie qui m’a recommandé la lecture de ce livre lorsqu’on discutait de la vie, des relations que nous entretenions avec nos congénères et que nous parlions de la difficulté de nos jours à sortir du train train quotidien.
Suite du
3ème partie de l’histoire de Murakami, ce livre poursuit magistralement les deux premiers volumes.
J’avais ce livre dans ma “to read list” depuis un moment quand je me suis décidé à l’acheter, de passage en librairie puis, un peu plus tard à le lire.
Lorsqu’on est passionné de course à pied comme moi, il y a quelques livres qui sont, en quelque sorte, des références et que les autres fans de la discipline vous recommandent.
Ce dernier roman de Jean-Christophe Grangé reprend les ficelles très connues de ses autres romans à succès et fonctionne une nouvelle fois très bien.
Dès la fin du
J’avais lu quelques critiques de ce livre avant l’achat et le thème m’attirait : un groupe de trentenaires et leurs relations, les fameuses Morues, pas mal d’internet et une enquête journalistique en parallèle de tout ça.
Je n’avais jamais lu de roman de Delphine de Vigan et ai été séduit par les critiques de son dernier ouvrage,

