Paris - Palais Bourbon
martin | 6 octobre 2008 | 8:41Je ne m’étais jamais arrêté devant l’assemblée nationale. C’est vraiment très joli !
Je ne m’étais jamais arrêté devant l’assemblée nationale. C’est vraiment très joli !
Dans la vie électronique nous entourant, on ne cesse de se connecter. Sur les réseaux professionnels tels que Viadeo ou Linkedin mais aussi via des réseaux moins professionnels, Facebook en tête.
Il ne se passe pas une semaine, voire même un jour pour les plus “open” d’entre nous sans qu’un nouvel “ami” ne nous propose d’étendre notre réseau à lui. On ajoute des contacts sans cesse. On a de plus en plus d’ “amis”. Jamais on n’imagine en supprimer. C’est la course en avant dans le virtuel. On ajoute constamment des numéros dans son téléphone, des emails dans son Webmail, des profils sur son Facebook.
A chaque rentrée télévisuelle ses nouvelles séries US. Je suis depuis maintenant plusieurs années certaines d’entre elles et analyse attentivement les nouvelles sorties.
Voici mon avis sur celles qui m’avaient tapé dans l’oeil et les autres que je suis depuis maintenant plusieurs saisons.
Premier épisode aujourd’hui : Knight Rider…
Eh oui, j’étais à la
Techcrunch Party hier soir à la cantine, rue Montmartre à Paris. Pour les photos, c’est
là. Bon, j’ai regardé, on ne me voit pas… C’est pas grave, c’était bien quand même.
L’événement, organisé par le site éponyme avait pour but de réunir des passionnés du Web, des entrepreneurs autour d’une volonté commune : se rencontrer. Pour simplement mettre un visage sur des plumes de Blog, faire du networking, échanger des contacts, le tout dans une ambiance bon enfant.
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Il est des œuvres dont on se souvient longtemps. Films, Musiques, Livres. Il est parmi ces oeuvres des livres dont les pages cornées et jaunies nous rappellent longtemps les meilleures phrases de leur puissant contenu.
Ces livres nous marquent. Celui dont je vais vous parler est, à mes yeux, de ceux-ci.
Pour le sujet abordé. Une étude de la société de consommation actuelle au travers de toute notre façon de vivre européenne. Comme écrit sur la quatrième de couverture et je ne dévoile rien en le notant ici : « La vie Liquide est le triomphe du consumérisme […] ».
Pour la forme du discours. Pour la beauté du récit et les émotions ressenties à la lecture. Pour ce qu’il a éveillé en moi.
Dimanche, de retour chez mes parents, j’ai intercepté, me levant, le flux télévisuel sur la première chaîne du poste, soit TF1 et suis tombé sur Auto-Moto, émission dont j’étais autrefois fan…comme quoi on évolue !
A vrai dire, j’ai commencé à ne plus regarder quand ils ont commencé à vouloir faire du Canal + commercial sans le savoir-faire ni le professionnalisme propre à Canal + et à copier Turbo sans le naturel et la classe de cette émission, ce qui donna à l’époque un résultat superficiel plein d’effets spéciaux et de grandes paroles des présentateurs (ils avaient pour habitude de prononcer, mode TF1 ??, Chazal ayant tendance à faire pareil, certaines liaisons de manière dangereuse :”Dans z’Auto Moto” par exemple). Cela m’énervait au plus haut point et m’avait rapidement détourné de cette émission.
Autre citation de ce puissant livre philosophique qu’est “La Vie liquide” de Zygmunt Bauman :
Le fait d’amener le corps à un état de “forme” jure trop souvent avec le but que cet état était censé servir…
Puissant non ? et tellement vrai !
Ceci dit, cela ne va pas m’empêcher de continuer de rechercher la forme ultime
Depuis maintenant plusieurs semaines, je reviens aux joies simples de la vie. Le sport, la promenade dans Paris, la découverte et l’émerveillement face aux choses toutes bêtes de la vie.
J’ai complètement délaissé la télé dans laquelle je ne retrouve plus rien d’intéressant. Je n’ai d’ailleurs plus d’appareil TV physique. Et mis à part le sport pour les grands événements et encore, quand celui-ci n’est pas commenté par des commentateurs souvent lamentables comme ceux qu’on trouve sur les chaînes hertziennes françaises, je ne regarde plus jamais la télé. Les fans de sport comme moi comprendront ce dont je parle sans que j’ai besoin de charger encore plus ceux qui deviennent de plus en plus des boucs émissaires des mauvais résultats d’audience (peut-être à raison…).
Je lis actuellement un essai d’une puissance rare. Il s’agit de “La Vie liquide” de Zygmunt Bauman.
ce livre aborde la liquéfaction de la vie et étudie la société de consommation, le mass market et les moeurs induits par ceux-ci. J’en ferai une review complète après l’avoir terminé mais en voici déjà une belle citation.
La modernité liquide ne se fixe aucun objectif et ne trace aucune ligne d’arrivée ; plus précisément, elle n’attribue la qualité de la permanence qu’à l’état d’éphémère.
Le temps s’écoule, il n’avance plus.
Je vous propose aujourd’hui mon ressenti d’utilisateur après l’achat du Medion Akoya E1210 vendu chez Orange.
Ce mini-PC de 10″ est l’équivalent du MSI Wind, un de ses nombreux clones.
Il est très bien fini et pour 349€ sans engagement, cela vaut le coup !
Rappel bref de la configuration :
Ecran 10,2″
Intel Atom 1,6GHz
1Go de Ram
DIsque dur de 80Go 5400tr/min
Wifi n
Ports Ethernet, VGA, USB (x3)
Lecteur de cartes 4 en 1
Webcam 1,3MPix
Couleur : blanc
Prix 349€ sans engagement
Passons maintenant à mes impressions après quelques jours d’utilisation.
Après l’avoir lu sur le très bon blog du marketing alternatif cette semaine, j’ai pu voir cette campagne par moi-même hier soir. Me rendant à la Tour Eiffel depuis Montparnasse, j’ai traversé le tunnel et ai contemplé la frise géante. Vraiment impressionnante cette campagne.
Il y a dans la vie des choses que je peux faire ou voir des dizaines de fois sans ne rien perdre de l’émerveillement de la première fois. De nombreuses choses.
Ecouter quelqu’un de passionnant et de passionné, admirer la nature au milieu de nulle part, revoir un film extraordinaire, écouter certaines chansons des Pink Floyds, de Radiohead ou encore certaines oeuvres classiques comme les suites de Bach pour violoncelle, le requiem de Mozart ou la 9ème de Beethoven….
Bref, des choses simples qui donnent à la vie sa saveur si particulière et font que rien n’est jamais complètement moche ou totalement redondant. Des éléments qui, l’espace d’un instant, nous font nous dire : Waaah, que c’est beau !
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Nouvelle série de clichés de Paris. Encore depuis un pont…
Après la nuit, le plein jour, cette fois-ci, le crépuscule.
Un matin de la semaine dernière ne sachant plus dormir, je suis parti courir.
Il est alors entre 6h30 et 7h du matin lorsque, trottinant sur les quais de Seine, j’aperçois un appendice sortant d’un poste technique ou de transformation électrique ouvert, la ligne RER longeant la Seine à cet endroit-là.