Un monde de procrastination

Blog personnel de Martin Régent : Réflexions ((f)utiles…?) sur un monde ((f)utile…?)
  • Accueil
  • Contact

Chronique de la connerie habituelle

martin | 22 mai 2008 | 0:40

J’ai assisté hier à une scène d’une rare beauté dans l’illustration de la difficulté des individus à communiquer entre eux. C’est un sujet qui me tient à coeur. Je m’en vais donc vous la conter.

Lire la suite »

Commentaires
Pas de Commentaires »
Catégories
3615 Ma Life, Humeur
Tags
3615 Ma Life, Humeur, Paris, Vie
Flux rss des commentaires Flux rss des commentaires

Cette année, assurément…

martin | 2 janvier 2008 | 23:51

Comme chaque année à pareille époque, on se prend à rêver de choses. On se prend à s’imaginer faire des choses qu’on aurait soi-disant dû faire depuis bien longtemps. C’est toujours la même ritournelle. On se dit qu’on va changer, qu’on va s’améliorer, faire ceci ou cela mieux que les années précédentes. C’est le jeu des bonnes résolutions.

Lire la suite »

Commentaires
Pas de Commentaires »
Catégories
Humeur, Pensées
Flux rss des commentaires Flux rss des commentaires

Manaudou, Sarkozy, Bruni, Miss France ou quels intérêts dans cette semaine de rumeurs people ?

martin | 22 décembre 2007 | 21:09

La semaine dernière a vu les journaux et toute la sphère médiatique se complaire à faire du vent de pas grand-chose. Pas grand-chose au sens journalistique mais énormément au sens du buzz, ce bruit bloggo-médiatique.

Lire la suite »

Commentaires
Pas de Commentaires »
Catégories
Humeur
Flux rss des commentaires Flux rss des commentaires

Coïncidence fâcheuse ?

martin | 9 novembre 2007 | 1:53

Lundi, au moment de payer Le figaro chez le buraliste près de chez moi, je présente mes deux pièces comme à chaque fois que je l’achète, une de 1 euro et l’autre de 10 centimes d’euros. 1,10€, je connais maintenant le prix par cœur depuis que je l’achète.

Le buraliste me regarde l’air ennuyé, c’est 1,20€ depuis ce matin (lundi 5 novembre), je suis désolé. Je lui aurais bien sorti un « Faut pas être désolé, pas de chichis » mais je ne l’ai pas fait. Donc soit. Je me dis à moi-même que, 1,20€ pour une presse de qualité, traitant l’actualité, la science, la culture et les sujets de fond à égalité, de façon sérieuse et quotidiennement, ce n’est finalement pas cher.

Lire la suite »

Commentaires
3 Commentaires »
Catégories
Humeur
Flux rss des commentaires Flux rss des commentaires

Chronique du retour au commerce raisonné

martin | 6 novembre 2007 | 1:51

« Notre monde occidental est un monde de consommation ».
C’est ce qu’on leur avait toujours dit. Je pense qu’on pouvait même étendre cette dénomination à l’ensemble de la planète. Tous les pays, même ceux en voie de développement ou en développement étaient en train de suivre ce schéma de consommation immodérée.

Lire la suite »

Commentaires
2 Commentaires »
Catégories
Humeur, Pensées
Flux rss des commentaires Flux rss des commentaires

Veille de grève

martin | 19 octobre 2007 | 20:43

Paris, 17 Octobre, j’attends en gare du Nord pour prendre le TGV de 17h28 pour Lille.

Je profite des quelques minutes avant l’annonce du train pour regarder les allers et venues au sein de la gare. Je prends toujours plaisir à faire cela. L’air de rien, l’œil distrait, les écouteurs vissés aux oreilles, j’ai l’air dans un autre monde mais je regarde les personnes, j’essaye d’analyser ce qu’elles font. J’essaye de comprendre pourquoi elles font ce qu’elles font, ce qui les poussent à agir de la sorte. Imaginer ce qu’elles peuvent penser, ce qu’elles ont fait et vont faire, d’où elles viennent.

Lire la suite »

Commentaires
Pas de Commentaires »
Catégories
Humeur, Pensées
Flux rss des commentaires Flux rss des commentaires

Vivement dimanche prochain

martin | 3 septembre 2007 | 2:44

Lors d’une digression télévisuelle, je suis tombé sur l’émission du perpétuel revenant, Michel Drucker. J’ai été profondément marqué par cette expérience courte, car j’ai très vite zappé.

Comment une telle émission est-elle encore possible à la télé de nos jours ?

Cette émission est d’une morosité notoire. Je ne connais pas d’autre émission qui illustre mieux que cela le cafard du dimanche soir. A l’heure où tout citoyen moyen ressent le coup de blues du dimanche soir à l’idée de quitter la torpeur du repos dominical et de reprendre son labeur quotidien, cette émission lente est une véritable torture.

Michel Drucker donne l’impression d’émission en émission de rendre son dernier souffle médiatique. On aurait presque envie que ça arrive pour qu’enfin il soit libre de prendre ce repos télévisuel que sa position de plus en plus avachie semble réclamer. On ne sait dire depuis combien de temps sa complaisance malsaine avec les artistes existe ou depuis quand il a perdu toute objectivité au point de qualifier de magnifique, de superbe tout ce que ses invités font ou ont fait. Il est accompagné dans son quasi-sommeil par sa chienne, totalement endormie elle, simplement pour faire beau et certainement faire encore plus proche du français moyen.

La réalisation de cette émission est tellement léchée qu’on se croirait dans un Soap américain de bas étage. Les plans sont longs, sans vie. On a l’impression que la lumière du plateau joue des tours à notre esprit. Etant dimanche, on s’imagine des fois que la soirée de la veille remonte un peu trop et que nos yeux brouillent notre vision. Je ne vous parle pas du montage et des lumières psychédéliques dignes de la chance aux chansons, lorsqu’un « artiste » vient chanter… pardon bouger les lèvres en direct… pardon différé de trois jours.

Le plateau rajoute à cette impression de suffocation nauséabonde par sa forme. On se croirait dans un sous-marin. Une sorte de couloir de la mort. Une allée surélevée avec une mini salle au bout. Le public absent, inexistant, robotisé encadrant parfaitement cette parfaite mise en scène. Des effets de transparence dans l’allée, les marches. Un écran faussement géant s’ouvrant chichement dans le prolongement de l’allée. La couleur rouge vif des fauteuils et des élements de décor ajoute à toute cette architecture le côté bonbonnière rococo ultime.

Les chroniqueurs. Gros point de cette émission…
Comme l’année dernière, Jean-Pierre Coffe, lui aussi en fin de parcours télévisuel. Il avait pour cette émission revêtu de magnifiques lunettes bleues. Certainement le signe que rien d’autre ne peut plus attirer l’attention sur lui. Sur les plans larges, on ne voyait que cela. Il faut dire que les attributs de Faustine Bollaert faisaient forte concurrence, son bronzage aussi faisait pâlir directement les autres intervenants. Il y a fort à parier de plus que ce bronzage perdurera tout au long de l’année. La magie de la télé ! Jusque là, je n’étais pas surpris il n’y avait rien de neuf, que du vieux, surtout avec Le Drucker et le Coffe. Mais quelle ne fut pas ma surprise en découvrant Claude Sérillon, grand journaliste, ancien présentateur de journal télévisé que je respectais pour son sérieux et ses fou-rire mémorables. Je me souviens de celui du Téléthon. Il repasse régulièrement dans les bétisiers ou les meilleurs moments des chaînes. Ce grand monsieur de la télé chez Drucker. J’étais surpris et mes pensées n’ont fait qu’un tour. C’est forcément une punition, une voie de garage. Forcément, ce monsieur a du se fâcher avec Arlette chabot et être remercié de l’information. Je ne vois pas d’autre explication. Enfin, le réalisateur passe sur Anne-Gaelle Riccio. Là aussi, autre grosse surprise. Après avoir présenté Fort-Boyard, la voilà qui continue de descendre la pente de l’intérêt télévisuel. Autant pour Sérillon, je crois volontiers à une punition, autant pour elle, je penche plus pour un choix personnel. Mais alors, quelle idée saugrenue ! L’argent ? Rien d’autre pour le moment ? Quel motif peut motiver un tel choix ?

Ce n’est pas ça, cette demoiselle m’amène à la meilleure partie de ces quelques dizaines de secondes sur cette chaîne publique. Un moment Nutella comme on ne les oublie pas. Une sorte de blind test. Loin de l’ambiance de ceux de Ardisson néanmoins. Donc, voilà que défilent enchainés tous les tubes de cet été, Mika, Christophe Willem entre autres. Et là, les intervenants restent tous muets. A part deux ou trois réponses données laborieusement, aucune de ces personnes n’a prononcé mot. Drucker s’est laissé à aller à un commentaire prétextant que si André Rieu ou Yvette Horner avaient faire partie du test, il aurait eu plus de chance. Comme pour le public ?? En tous cas, quel décalage avec l’enthousiasme de Anne-Gaelle Riccio qui s’est elle-même étonné que ces titres étaient archi connus (de quiconque n’aurait pas vécu dans un bidon de formol ces trois derniers mois). La pauvre ! On lisait dans son regard du désespoir. De se dire qu’elle allait devoir tirer vers la jeunesse tous ces incultes de la nouveauté pendant toute une saison. Mademoiselle, je vous plains. Quelle rude tache que la vôtre !

Là c’est le moment où j’ai changé de chaine en me posant la question d’introduction de ce billet. Mais comment cela est-il encore possible ?
A vrai dire, je suppose qu’il doit exister un public pour ce genre d’émissions. Dieu merci je n’en fais pas partie et j’espère que jamais – oh non jamais !- je n’en ferai partie.

Mais avec ce zapping sauvage, j’en ai raté le meilleur. Le générique de fin. Celui où tous les chroniqueurs font mine de se lâcher et où le superbe générique, s’il n’a pas changé, donne un semblant de faux rythme pseudo-moderne mélancolique à base de voix psalmodiant des paroles incompréhensibles (Bom, Tchik i Bom, Bom…), comme pour dire : Demain charbon, ce soir déprime !

Bah, pas grave, ça repasse tous les dimanches. Ahhhh ! Vivement dimanche prochain !

Commentaires
5 Commentaires »
Catégories
Humeur
Flux rss des commentaires Flux rss des commentaires

C’est la rentrée !

martin | 1 septembre 2007 | 21:28

Comme chaque année, à la même période, la revoilà, la fameuse rentrée. Qu’elle soit scolaire, littéraire ou rentrée toute simple, elle est bien là.

Les médias nous assomment de sujets sur ce non événement si particulier car il marque le début de tous les autres, la Toussaints, Noël, le ou les réveillons de fin d’année, la nouvelle année, puis les sports d’hiver, le retour des beaux jours et enfin les vacances d’été pour enfin pouvoir rentrer. La boucle est bouclée.
Cette boucle, sorte de course contre le temps, variable de plus en plus fuyante d’après ce que l’on entend dire ici ou là. Le « Tempus fugit », un véritable syndrôme. Le temps fuit, passe. Trop vite. On ne profite plus des choses à entendre les gens discuter et c’est probablement vrai. Un véritable cercle vicieux d’après certains !
Ce cercle infini dans lequel médias, annonceurs, marketeurs, employeurs nous piègent bien souvent malgré eux étant contraints à ce système autant que nous par ceux qui les dominent hiérarchiquement.

Ont-ils pensé à ceux qui n’étaient pas partis et qui donc ne vont pas « rentrer » comme les autres ?

Certes, il faut amuser la masse avec de la redondance car la répétition fixe la notion comme on dit bien souvent péjorativement pour faire entrer une notion bête et méchante dans une tête mise en condition. La redondance rassure également.
Nous parler de rentrée fait peut-être rentrer les choses en ordre pour certains. Remise à l’heure du régime alimentaire, reprise du sport, retour chez soi, retrouvailles avec soi-même.

Mais à force de parler de rentrée, n’a-t-on pas un dégoût du retour ? Ne sentez-vous pas cette sensation de nausée poindre au creux de votre objectivité ? A force de se voir répéter que c’est la rentrée, n’avez-vous pas envie de repartir et donc de courir plus vite que le temps, en avant du cercle temporel pour attraper au plus vite le départ….pour enfin pouvoir rentrer à nouveau et de retomber dans les travers de cette mise en condition par l’information.

La solution ? Partir. Sortir loin, tard, s’évader, quitter cette fuite en avant, prendre le temps de se retrouver, de partager, se libérer de tout. pour enfin ne plus penser à…rentrer…

Commentaires
Pas de Commentaires »
Catégories
Humeur, Pensées
Flux rss des commentaires Flux rss des commentaires

Carrefours

martin | 26 juin 2007 | 22:55

Depuis quelques temps, je suis au milieu d’une horde de carrefours. Chacune de mes routes intérieures est à une intersection ou à un embranchement.

Je sais que je dois prendre des directions. Je ne vois pas l’horizon. C’est plein de brume partout. Je ne sais donc pas où chaque côté des routes mène.

Je n’ai pas de carte, pas de GPS.
Personne en vue, je vais où ?

Je fais quoi ? Des idées ?

Commentaires
Pas de Commentaires »
Catégories
Humeur, Pensées
Flux rss des commentaires Flux rss des commentaires

Reparti pour un Tour

martin | 19 juin 2007 | 21:59


Un tour. Un tour de clé ? Un tour dans le vide ? Surement pas !

Un tour de vis ? Apparemment cette année oui ! Pour le bien de tous, pour que tout continue de bien tourner rond.

Ce Tour magnifique, perpétuel. Tour de France ? Tour d’Europe vous répondront certains.
Un tour en France et alentour, un tour chez les français, un tour chez vous, un tour chez moi, un tour un peu partout mais un tour qui fait tout sauf le tour de la beauté de la France.

Tour des équipes ? Comme d’habitude, le Pro Tour plus quelques invitées.

Autour de tout cela ? La foule, la caravane, les officiels, 4000 personnes environ qui tour à tour précèdent, suivent ou encadrent ce superbe Tour de magie et de spectacle.

Pendant 3 semaines, tous vont n’en avoir que pour lui, ce magnifique maillot aux couleurs de la fleur du Tour, le tournesol. Jaune.

Jaunes de fatigue, jaunes d’envie, tous plus jaunes d’en vies les uns que les autres. Jaunes peut-être qu’ils le deviendront les prétendants au jaune car jaune le maillot sera comme chaque année. Sûr qu’il fera encore tourner les têtes dans les tourniquets infernaux des Alpes et des Pyrénées. A coup de secondes, chacun tentera sa chance, chacun son tour en quelque sorte. Un tour de passe passe, un tour de Pocker pour tenter de le remporter, ce Tour….

Plus que quelques jours à patienter et cette année encore, ce sera reparti pour un Tour !

Commentaires
Pas de Commentaires »
Catégories
Humeur, Pensées
Flux rss des commentaires Flux rss des commentaires

Météo locale

martin | 10 juin 2007 | 21:45


Le temps est lourd en ce moment. Les paysages sont chargés. Au milieu de la campagne, on ne distingue pas trop l’horizon ou bien peut-être que ce dernier est caché par les brumes, ce qui fait qu’on ne le distingue pas.

On se croirait à Londres. Le Londres des films policiers cultes. Lumière quasi absente, brouillard persistant. Au milieu de cette campagne, de temps en temps j’aperçois un lièvre sortir de nulle part et courir. Vite, il part et fuit à mon regard.
D’autres animaux se montrent et me laissent penser que les beaux jours sont sur le point de revenir. En même temps, ce crépuscule a des airs d’aurore. On ne sait dire par cette lumière si particulière et enveloppée de buée l’heure exacte de ce moment.

Je progresse. Je connais ces chemins. Chaque pierre et chaque trou me semblent familiers. Des airs de déjà vus. La fatigue se fait sentir. il est temps que ça s’arrête. Au loin j’aperçois le soleil qui semble vouloir percer les nuages. C’est plutôt bon signe.

Je quitte mes pensées et prends conscience que j’étais plongé au fin fond de moi-même… Rien ne surnage à part un truc : je ne suis sûr que d’une chose, je suis dans le flou…

Commentaires
Pas de Commentaires »
Catégories
Humeur, Pensées
Flux rss des commentaires Flux rss des commentaires

Fonte des neiges corporelles…

martin | 18 février 2007 | 22:18
Le printemps approchant, les rayons du soleil commencent à se faufiler à travers les brumes hivernales. On peut déjà observer de jolis couchers de soleils colorant le ciel de teintes exotiques. Du rose, de l’orange, du bleu tropical. Cependant, bien trop tôt le soleil nous quitte le soir.

En montagne, dans peu de temps les neiges commenceront à fondre. Ce triste spectacle d’une immaculée blancheur qui se tranformera en soupe immonde marron pleine d’alluvions prélevées partout sur ce qui, il y a peu encore, servait de piste aux vacanciers saisonniers avides de pureté et de sensations.

Après l’hiver citadin, le sédentaire se doit de se remettre en mouvement. Repréparer son corps au sport, aux rayons du soleil, aux activités extérieures. Comme après avoir stagné à flanc de montagne, la neige finit par fondre au printemps, la graisse accumulée autour des mucles de l’homme pendant l’hiver se met à fondre dès la reprise des activités physiques. Comme une migration savamment orchestrée par les gènes et par les générations d’habitudes, l’homme ressort au printemps pour corriger les erreurs de l’hiver. Il est temps de se remettre en marche, la machine n’attend plus qu’à chauffer encore et encore. Toujours plus…

Soleil, montre-toi !
Thermomètre, excite-toi !

Le temps des neiges corporelles est révolu. Le réchauffement climatique interne est en marche. Rien ne saura l’arrêter !

Une seule consigne, à partir de maintenant : Let’s ride ! Have fun !

Commentaires
2 Commentaires »
Catégories
Humeur
Flux rss des commentaires Flux rss des commentaires

ça y est !

martin | 29 mai 2006 | 21:56

Tout arrive !

Me voilà dans le monde des bloggers…
Je ne sais pas trop ce que je vais pouvoir raconter là-dessus mais on verra bien

Commentaires
2 Commentaires »
Catégories
3615 Ma Life, Humeur
Flux rss des commentaires Flux rss des commentaires

Entrées Suivantes »

Me suivre

Suivre @martinregent

Liens

  • Le portail du Vélo
  • Mon Facebook
  • Mon Google +
  • Mon Profil LinkedIn
  • Mon profil Viadeo
  • Mon Twitter
  • Recherche ebook gratuit

En ce moment, je lis :

Menu

  • 3615 Ma Life (33)
  • Coups de coeur (57)
  • Film (2)
  • High Tech (54)
  • Humeur (58)
  • livres (57)
  • Musique (10)
  • Non classé (16)
  • Pensées (48)
  • Photos (10)
  • Poésie (4)
  • Récit Caravane (1)
  • Séries TV (7)
  • Test matos (7)
  • Vélo (10)
rss Flux rss des commentaires
© Martin Régent