Paris - Exposition FIAC au jardin des Tuileries (1/2)
martin | 31 octobre 2008 | 0:36Samedi, me baladant à proximité du jardin des tuileries, j’ai aperçu deux énormes morceaux de métal incurvés placés à l’entrée du jardin côté Concorde.
Passé les portes dorées de l’entrée côté place de la Concorde
Intrigué, je suis rentré immédiatement à l’intérieur et ai regardé ce que les gens semblaient faire autour des deux murs courbes posés comme sortant du sol.
Une couleur rouille, des traces de pas sur les flancs. “Concept !”, me dis-je. Je m’approche et me rends compte qu’il s’agit d’un guide d’onde naturel. Evidemment. Comment n’y avais-je pas pensé ?
Bon, en photo ça ne rend pas mais c’est assez imposant comme forme d’Art… Je suis sûr que depuis le ciel, ça doit bien rendre.
Des personnes de part et d’autre semblent s’entendre et l’exaltation et l’étonnement se lisent dans leurs regards. Excellent !
Un certain nombre de personnes regardaient ces “oeuvres” de manière assez dubitative. Elles semblaient clairement ne pas comprendre ce qu’étaient ces deux protubérances métalliques. J’avoue qu’au départ, je n’ai pas non plus compris ce que c’était.
Bref, comme toutes les oeuvres exposées du 23 au 26 octobre, il y avait un panneau explicatif. Rien de très long, une simple description et le nom de l’artiste exposant en partenariat avec le musée du Louvre dans le cadre de la FIAC, foire internationale d’art contemporain. Pour cette oeuvre-là, je ne l’ai pas trouvée, je devais être du mauvais côté, mal réveillé (en pleine après-midi, normal…) ou distrait mais alors par quoi, je ne sais pas…
J’ai poursuivi ma visite par une petite terrasse latérale et ai pu avoir une vue plus globale du jardin des Tuileries.
Avec l’automne et la luminosité embrumée de cette journée, les couleurs chaudes des feuillages fatigués ressortaient très bien.
Il est même dommage que le jardin soit si bien entretenu par la mairie de Paris. Le charme des feuilles mortes sur le sol n’est pas complet car on se rend compte qu’elles doivent être régulièrement ramassées. A part un tas repéré à une extrémité, ce qui me conforte dans l’idée que l’entretien doit être suivi de très près, je n’en ai pas vu autant que ce que j’aurais aimé.
Donc pas d’odeur si particulière d’humus d’automne à se mettre dans les narines, rien que l’air de Paris d’apparence pur et frais en ce jour de froid pinçant. Le soleil semblait vouloir percer mais n’arrivait pas.
La brume de fraîcheur était dense et compacte au dessus de Paris alors qu’un regard en direction de l’Arc de triomphe montrait de grands rayons de soleil en approche. C’était bon signe, le léger vent venant de ce côté-là. Le soleil allait pointer le bout de son nez.
Un peu plus loin dans le jardin des Tuileries, j’ai découvert des sculptures que je qualifierai de permanentes car elles m’ont semblé être “résidentes” du jardin au même titre que les arbres et les fontaines.
Des sculptures plutôt jolies, un buste de Louis XIV et des sculptures qui semblent en réalité être des Bronzes (?) dans le style de la Vénus de Milo (avec ses bras, celle-là…) et du David de Michel-Ange
Fin de la partie 1…
Oui j'ai vu ça aussi aujourd'hui, les plaques rouillées...Je me
JB | 3 novembre 2008 | 0:31Oui j’ai vu ça aussi aujourd’hui, les plaques rouillées…Je me suis demandé ce que c’était, j’ai trouvé ça moche.
Merci de me rassurer et de m’apprendre que c’est temporaire !
[...] Suite et fin aujourd’hui de l’article touristique consacré à
Blog de Martin Régent - Un monde de procrastination » Paris - Exposition FIAC au jardin des Tuileries (2/2) | 30 novembre 2008 | 20:12[...] Suite et fin aujourd’hui de l’article touristique consacré à la visite du jardin des Tuileries un week-end d’Octobre et à la découverte de l’exposition consacrée à la FIAC. Retrouvez la première partie de cet article ici si vous ne l’avez pas encore lue. [...]